"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Réduite au rang de servante depuis la mort de son père, Kate vit sous le joug de sa belle-mère Marianna. L'odieuse femme va bientôt marier sa fille, Victoria, à un éminent parti mais avant tout, la future épouse doit être présentée au prince Gabriel.Par un coup du sort, Victoria, défigurée, ne peut se rendre au château. C'est donc Kate qui est envoyée à sa place, déguisée en fiancée. Kate va alors faire la rencontre de Gabriel, un prince aussi charmant qu'arrogant. Un prince pour qui son coeur vacille, mais que le destin s'acharne à lui dérober. Et si un baiser de minuit avait le pouvoir de tout changer ? Et si les contes de fées existaient ?
Dans ce premier opus de la saga Il était une fois Eloisa James revisite dans sa romance historique le conte de fée de Cendrillon.
Une revisite du conte romantique avec de bon dialogue, de l'humour, on retrouve une Cendrillon atypique et haut en couleurs, le scénario est un peu brouillon mais la lecture reste agréable. Une romance ennemies to lovers, un prince charmant pas si charmant mais assez imbus de lui même. Un final mignon mais laborieux. Quelques scènes sensuelles et piquantes. Quelques situations cocasses et rocambolesques.
"Avez-vous déjà entendu parler de Didon et Énée ?
Kate secoua la tête.
— Je ne sais même pas si c’est de l’histoire ou de la littérature. De vous à moi, j’ai été scandaleusement mal éduquée. Je parle un peu le français et j’ai lu presque tout Shakespeare, mais à part cela, je suis une parfaite ignorante.
— Une ignorante incollable sur l’élevage des animaux de ferme, à ce qu’il semble.
— Ma foi, cela peut avoir son utilité. Eh bien, qui est cette Didon ? Elle n’a pas un prénom très élégant.
— C’était la reine de Carthage. Elle s’était éprise d’Énée, mais les dieux avaient décidé que celui-ci devait poursuivre son voyage pour aller fonder Rome. Ce qu’il fit. Folle de chagrin, elle se jeta sur un bûcher funéraire.
— Elle s’est immolée par amour ?
Le prince Gabriel hocha la tête."
"Hélas, Gabriel ne l’écoutait déjà plus. La tenant fermement par la taille, il la souleva pour la placer à califourchon sur lui, avant d’entrer en elle d’un souple coup de reins.
Elle étouffa un gémissement de plaisir.
— Tu disais ? demanda-t-il, un sourire espiègle aux lèvres.
Kate le regarda, puis elle imprima à son bassin une douce ondulation. Aussitôt, le regard de son amant se voilà.
— Oh ! Gémit-il en fermant les paupières.
Elle recommença, tout en chuchotant :
— Je suis l’une des plus riches héritières de Londres.
D’un puissant coup de reins, il la souleva, la plaqua sur le lit et la prit de nouveau, allant et venant en elle de plus en plus rapidement, jusqu’à ce qu’ils basculent une fois encore dans le plaisir.
Ils restèrent étendus de longues minutes, épuisés et comblés, puis Gabriel demanda :
— Tu as bien dit ce que je crois que tu as dit ?"
http://lirecestrefuserdemourir.blogspot.fr/2015/05/il-etait-une-fois-t1-au-douzieme-coup.html
J'ai passé un excellent moment avec ce livre, beaucoup de sentiments, un jeu de séduction intense et touchant aussi, le Prince Gabriel ne laisse pas indifférent. ☻☻☻
Une version de Cendrillon très bien orchestrée.
Ce n'est pas de la grande littérature, mais ça se lit facilement et c'est sympa. La marraine m'a fait pensé à Barbara Streisand dans mon beau père, mes parents et moi.....
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