Harissa-madaba - un pelerinage a jerusalem

• Date de parution : 08/10/2012
• Editeur : Persee
• EAN : 9782823102031
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : (-)
• Collection : (-)
• Genre : Littérature française
• Thème : Romans Nouvelles Correspondance
• Prix littéraire(s) : (-)

Harissa-Madaba, c'est le titre qu'ont donné Françoise et Philippe Watine à leur pèlerinage à pied en partant de Notre Dame du Liban (Harissa) au nord de Beyrouth, jusqu'à Jérusalem. Lorsqu'on vient du Liban ou de Syrie, il n'est pas autorisé de se rendre en Israël et encore moins d'en revenir.... Voir plus

Harissa-Madaba, c'est le titre qu'ont donné Françoise et Philippe Watine à leur pèlerinage à pied en partant de Notre Dame du Liban (Harissa) au nord de Beyrouth, jusqu'à Jérusalem. Lorsqu'on vient du Liban ou de Syrie, il n'est pas autorisé de se rendre en Israël et encore moins d'en revenir. L'inimitié des Libanais, des Syriens et même des Jordaniens, vis-à-vis des Israéliens reste très profonde. Pour ce pèlerinage, il fallait donc avouer un autre but que la destination réelle. C'est pourquoi, ils ont choisi de dire qu'ils allaient à Madaba : le Mont Nébo en Jordanie, lieu où Moïse arriva après son exode de 40 ans à la tête du peuple Juif, lieu où il mourut après avoir contemplé la Terre Promise. Partis donc de Harissa, sous la protection de la Sainte Vierge, ils ont marché 3 semaines pour atteindre Jérusalem en passant par la Syrie, la Jordanie et la Palestine, en priant quotidiennement pour la Paix dans cette région du monde qui connaît tant de conflits depuis si longtemps. C'est au retour qu'ils sont allés au Mont Nébo. Ils ont ensuite souhaité s'arrêter dans 6 monastères au nord de Damas pour se joindre à la prière des diverses communautés religieuses qui prient de façon permanente pour le dialogue entre les peuples et les religions ainsi que pour la Paix. Les « journées » de ce journal ont été écrites par l'un ou par l'autre. Le lecteur pourra aisément distinguer qui en est le rédacteur, de par la différence de style et par le fait que le « je » a été volontairement utilisé par chacun.