Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
«Geai était morte depuis deux mille trois cent quarante-deux jours quand elle commença à sourire.Ce sourire, au début, personne pour le voir. Que deviennent les choses que personne ne voit ? Elles grandissent. Tout ce qui grandit grandit dans l'invisible et prend, avec le temps, de plus en plus de force, de plus en plus de place.Donc le sourire de Geai, noyée depuis deux mille trois cent quarante-deux jours dans le lac de Saint-Sixte, en Isère, commença à donner de plus en plus de lumière.»
"Geai" a rejoint ma PAL après avoir eu un coup de cœur sur des citations qui en étaient extraites. Je n'ai pas été déçue.
Pour moi ce livre est une petite pépite, d'une certaine façon il me fait penser au Petit Prince. Il est à la fois léger et grave, enfantin et sérieux, tenant à la fois du conte et du récit philosophique.
"Geai" c'est une façon d'appréhender la vie, de l'aimer et de la chérir. C'est le genre d'ouvrage qui, une fois fermé, laisse une trace indélébile. Ce n'est que du bonheur.
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