Ce livre est le nouveau chapitre d'une histoire commencée avec Parle-moi de Manolis (L'Escampette, 1997) et poursuivie avec Le Silence de chacun (L'Escampette, 2002).
Les souvenirs d'Alexandre sont les nôtres. Son école est la nôtre. Son quartier, son enfance, son apprentissage sont les nôtres. Pourquoi ? Parce qu'Alexandre est un héros de roman et que son histoire ne lui appartient pas. Sa mère est la nôtre. Et sa mère est morte. "Alors nous sommes tristes et emportés par cette histoire qui murmure des secrets qui sont les nôtres".
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