"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au village de Beyeda, c'est le temps des festivités. Pendant que les adultes dansent sur la place publique, les enfants s'éclipsent pour jouer. Mais sur la plage, ils découvrent un homme tel qu'ils n'en ont jamais vu : la peau blanche, les cheveux blancs et tout de blanc vêtu, il porte une croix autour du cou. L'homme blanc parle de Dieu et de l'Europe. Il promet que dans son pays on fournira une bonne éducation aux enfants qui pourront ensuite contribuer au bien-être de leur famille. Alors les enfants partent avec lui. Et c'est ainsi que la colonisation commence. Les Blancs imposent une nouvelle religion, une nouvelle culture et les Africains, dépossédés de leurs identités morale, intellectuelle et spirituelle oublient peu à peu leurs racines. Jusqu'à ce que des voix de protestation s'élèvent et que les peuples noirs se mobilisent pour reconquérir leur âme perdue...
Dans ce roman engagé, Gninêvi Afangbédji Darrah traite du sujet complexe de la colonisation et de ses conséquences ainsi que du thème terriblement actuel de l'identité culturelle, qu'il est vital de conserver.
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