"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les temps sont durs. Surtout pour un peuple de dépressifs chroniques, chargé aux anxiolytiques et pessimiste par nature. C'est pourtant dans cette période délicate qu'il faut montrer de la ressource, se changer les idées en rêvant et se relever quoiqu'il en coûte !Je déambule sur le pont du cuirassé Potemkine, échoué au large de Bora Bora, admirant le récif corallien et dégustant une tranche de pain de mie au sirop d'érable, quand je me réveille soudainement. Je file alors en cuisine, beurre une tartine, glisse un CD de Jean Ferrat dans le lecteur et feuillette un exemplaire de Géo sur les mers du sud.Il est parfois nécessaire de prolonger le rêve, de refuser la réalité, surtout en période de claustration, où le monde est menacé par un virus sournois et imprévisible.Philippe Badot est né en 1958. Enseignant à la retraite et ancré à vie sur le Bassin d'Arcachon, il consacre son temps libre à la peinture, la musique et l'écriture. Il profite de ses nombreux voyages pour exprimer ses impressions en rédigeant des poèmes, nouvelles, ou commentaires, pour la plupart déjà publiés.Coraux, navire russe et pain de mie est son premier ouvrage aux Éditions Vérone.
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