"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Pour l'auteur, une histoire, c'est un début... Une fin... Mais quelle fin ? Dans ses nouvelles, une fin définitive et sans vie éternelle. » Jamais, dans les écrits de Robert Charles Puig, le sous-titre Nihil Vitam Aeternam n'a eu son meilleur sens, parfois avec un brin d'humour noir comme il se doit, parfois comme un chant du cygne pour des fins étonnantes, douloureuses ou tragiques.
Poussés par une main invisible ou par les fils d'un marionnettiste, les personnages se transforment sous l'effet de la jalousie, la haine ou la vengeance. « La nuit », « L'assassinat », « Le rendez-vous », « La cassure », « 1962.07.03 » ou «Dieu » nous donnent des frissons car nous ignorons quelle est la part du réel dans les faits divers que nous propose l'auteur.
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