"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Casa, la casa fait suite à Vivre me tue.
"Suite" n'est pourtant pas vraiment le terme approprié pour qualifier ce qui s'apparente davantage à la poursuite d'une quête, quête d'identité, quête initiatique hilarante, caustique, désabusée de l'auteur-narrateur s'envolant vers le Maroc à la recherche de ses racines. Mais là encore, l'association des mots auteur et narrateur s'avère abusive. Car si le héros (ou l'antihéros) porte effectivement le nom de l'auteur, rien n'est plus éloigné de la démarche autobiographique que cette entreprise où le narrateur revendique son statut de personnage de fiction, de double romanesque d'un écrivain qui, en réalité, ne s'est jamais appelé Paul Smaïl, identité fictive, pseudonyme de circonstance.
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