"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La vie de la Marie Quinton (1854-1933) fut bouleversée dans la nuit du lundi 24 octobre 1887 lorsqu'elle accueillit secrètement, dans sa modeste auberge, deux amants illustres. Elle devint la confidente d'un amour fusionnel entre le célébrissime Général Georges Boulanger (1837-1891) et sa maîtresse, la Vicomtesse Marguerite de Bonnemains (1853-1891).
Enfant, j'avais le privilège de jouer parmi les rochers et les sources de notre adorable vallée de Royat. Je vivais dans la maison de cette bonne meunière, la veuve Quinton, face à son hôtel des Marronniers. De chez elle, mon imagination était grande et je pouvais admirer les murs de sa villa, sa terrasse contemplant son petit coin de paradis avec, à l'arrière, son jardin plus intime et dessous, le grand garage aux calèches, au côté duquel une porte existe toujours. Il lui suffisait de descendre de son appartement et de traverser la route pour se rendre directement dans son établissement. Sa vie privée fut intimement liée à la passion surhumaine du général Boulanger. Cette histoire romantique berça toute mon enfance. J'ai souhaité vous faire partager cet amour légendaire à travers cette nouvelle publication allégée et actualisée de son journal intime. J'espère que, tout comme moi, vous serez touché par cette tragédie lyrique. Empreinte amoureuse, hymne à la passion, histoire authentique de vies brisées qui marquèrent les plus belles pages de notre Auvergne tant aimée.
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