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Beata Umubyeyi Mairesse poursuit son exploration des méandres de l'âme humaine avec Après le Progrès son premier recueil de poésie, après deux recueils de nouvelles récompensés :
Ejo a reçu le prix François Augiéras 2016 et Lézardes, le prix de l'Esturaire 2017 et le Prix des Lycéens de Decize 2018 et les deux livres se sont vu décernés le prix du livre Ailleurs 2017.
À la question « qu'est-ce que la poésie ? » Georges Castera Fils répondait (en créole) : « C'est des paroles semées pour culbuter le malheur. » Avec ses fragments intimes et universels, l'auteure franco-rwandaise fait danser les mots de trop, les mots pagailles, les mots abandonnés de son imaginaire décolonisé clair-obscur.
Ce premier recueil de poésie Après le Progrès se déploie dans une langue savoureuse pour dire avec la même délicatesse le violent ressac de la vie, de sa vie, entre hier et demain, entre les désirs de vie et le coût de la survie, entre là-bas et ici.
Ces textes, rires ébréchés ou souvenirs parfumées, portent la voix d'une femme, survivante, militante, mère, amoureuse. Autant de paroles semées, germées, cueillies, qu'elle nous offre pour faire un pied de nez au malheur.
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