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"Mon fils que je n'ai guère vu et dont je parle peu, avait voulu que je lui raconte mes souvenirs et ceux de cette exceptionnelle famille d'artistes dans laquelle j'ai vécu. Moi, j'avais plutôt choisi de m'exprimer par des mots sans paroles. Les notes de musique me convenaient parfaitement. Je lui avais donc fait un récit anecdotique, souvent sec et rigide, miroir de mon mal être. Un temps de renaissance (un peu) apaisé me permet aujourd'hui de parler de moi-même et surtout de ma mère Pauline Viardot, en ne cachant plus l'amour et l'admiration que j'ai eus pour elle. Son immense renommée avait fait oublier la Malibran. Pauline fut plus célèbre que sa soeur et plus longtemps. Aurait-il fallu qu'elle mourût en pleine gloire à 28 ans pour que la postérité lui conservât une notoriété sans pareille ? Je veux raconter la femme et l'immense artiste qu'elle était, la passion de la musique qu'elle m'a transmise. C'est pourquoi je peux enfin mettre entre parenthèse le nom de celui qui fut, de mon fait, si peu mon mari." Louise Viardot.
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