"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans ce recueil de poèmes, Claude Berger explore le chemin qui mène de l'amour divin au divin de l'amour, de l'immatériel amoureux à l'immatériel spirituel. L'amour est alors le saisissement de deux âmes à un moment privilégié de communion entre le monde d'en-bas et celui d'en-haut.
Notre connaissance du divin se révèle par la perception du souffle en soi et par la relation à l'autre. Perception solitaire, elle conduit au chant. Claude Berger chante le divin de l'amour à travers l'amour de la femme qui selon la Cabale est plus proche de Dieu que l'homme car elle fait vivre en elle féminité et masculinité, en complétude.
«Les cordes de la harpe forment la chevelure du divin et du profane mélés» à l'instar des cheveux de la femme.
Pourquoi Jérusalem ?
Pour l'auteur - s'inscrivant dans la tradition mystique du Zohar - la Ville Haute, suspendue entre terre et ciel, est celle du saisissement.
"Le buisson ardent ne se discute pas. Il se vit, sa flamme ne consume pas celui ou celle qui le porte, elle l'éclaire" David Berger, dans ses photographies a recherché sur les visages qui peuplent Jérusalem, ce souffle qui les habite, rôdant sur les êtres mais aussi les murs, les rues...
Un livre poème, un hymne par les mots et les visages, dédié au divin transcendant et immanent.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !