"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
des expositions et des publications ont ressuscité depuis une vingtaine d'années l'apport de la sécession viennoise à l'art moderne.
on sait moins que l'art nouveau bruxellois a joué un rôle important dans l'émergence de ce mouvement artistique, notamment à travers la figure de paul hankar. moins connue encore est l'influence de la sécession et de son icône, le palais stoclet, oeuvre majeure de josef hoffmann, avec sa célèbre salle à manger décorée par gustav klimt, sur plusieurs générations d'architectes belges. à commencer par léon sneyers qui fut, dès le début du xxe siècle, le propagateur zélé du goût viennois en belgique à travers son magasin " l'intérieur " et robert mallet stevens, le célèbre architecte français qui s'inspira directement dans ses premiers projets du palais bruxellois.
la sécession viennoise assura ainsi en belgique et en france un rôle de passeur vers une modernité marquée par une qualité artisanale héritée des ateliers d'art viennois, les wiener werkstätte.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !