A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
« Un espace de liberté m'était donné, au sein de mon "étable" et j'ai pu établir mon territoire. C'est dans cette vie faite de paix, de rencontres et d'activités que je me suis épanouie. Valence et ses alentours en ont constitué le creuset, c'est parce que j'y ai trouvé bonheur et harmonie que j'éprouve le besoin de le communiquer. Chaque être humain vit une aventure particulière avec les racines qui lui sont proposées. Nous faisons tous partie du grand chaînon de l'humanité. » Après Mon estive... les jours heureux de mon enfance, paru en 2016, Anne-Marie Cervoni-Vaurillon complète les beaux souvenirs de sa jeunesse. Nous y retrouvons avec tendresse les grands espaces pleins de rêves, l'enracinement de ses origines paternelles et la vie quotidienne de la douce « étable » valencienne.
En montrant la proximité et les heureuses relations avec les membres de sa famille, l'auteur les décrit dans une nature et un environnement attachants qu'elle a su s'approprier et dont elle n'a jamais pu se détacher.
Anne-Marie Cervoni-Vaurillon est née en 1947, à Valence d'Agen dans le Tarn-et-Garonne. Le lien avec sa ville natale n'a jamais été rompu, ni avec le Cantal d'où est originaire son père qui y entraîne chaque été la famille. Ses choix d'études d'Histoire de l'Art et l'obtention de son doctorat seront orientés, en partie, par ces deux régions, ainsi que son premier récit « Mon estive... Les jours heureux de mon enfance », paru aux éditions Amalthée en 2016.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste