L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le printemps au coin cassé est un tableau impressionniste brossé par les lettres et les récits des différentes personnes d'une même famille séparée par la dictature en Uruguay : le père est encore en prison, la femme, la fille et le grand-père sont exilés en Argentine. Cette situation a des conséquences diverses : difficultés d'adaptation du grand-père, incompréhension de la petite fille, éloignement progressif de l'épouse. L'auteur prend de la hauteur en évoquant la vie d'autres personnages exilés, dont lui-même, et leurs modalités d'adaptation à l'exil.
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Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
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