"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Du Grand Siècle à la Cinquième République, on a beaucoup couché pour maintenir la grandeur de l'État, et la diplomatie française fut faite de relations amoureuses ou sexuelles plus souvent qu'on ne croit. Il y eut des ambassadeurs-étalons, tel ta Chétardie auprès de la tsarine Élisabeth Petrovna, et des maîtresses influentes, telle la Castiglione venue plaider la cause de l'Unité italienne dans le lit de Napoléon III. Il y eut des diplomates restés célèbres pour leur chaude nature, comme Bernis, tandis que d'autres passent à tort pour froids, comme Guizot. Après que les ébats des rois de France eurent secoué l'Europe, la République finança avec le plus grand sérieux une politique étrangère érotique : sous la Troisième, l'expression officielle « visite au président du Sénat » désignait en réalité les plaisirs officieux que se voyaient offrir princes et souverains séjournant à Paris.
Une histoire à rebondissements où les valises diplomatiques sont aussi des vanity-cases.
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