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Vivre avec la maladie de Parkinson, ce n'est pas devenir cette maladie. Face au chaos du corps, Ève Ricard puisse aux sources vives de l'existence pour faire naître une « étoile qui danse », selon l'expression de Nietzsche qu'elle cite en exergue. Après une réédition de Parkinson blues, en première partie de l'ouvrage, elle offre ici une suite où son témoignage, aux accents poétiques, se mêle aux souvenirs d'une enfance entre deux parents hors normes (son père était le philosophe et académicien Jean-François Revel et sa mère, peintre, s'est convertie au bouddhisme tibétain). Avec humour et délicatesse, elle entrouvre les portes d'un monde qui transcende toute maladie, où la douleur du corps est une épreuve qu'il faut choisir de dépasser chaque matin. Une leçon de vie préfacée avec beaucoup de profondeur par son frère, Matthieu Ricard.
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