"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Il y a cinquante ans, ma chambre d'enfant a explosé. J'avais quatre ans et demi. La bombe, posée par des activistes de l'OAS sur l'appui de ma fenêtre, était destinée à André Malraux, alors ministre du général de GAulle, dont le gouvernement était en train de mettre fin à cent trente ans de colonisation en Algérie. Il habitait les étages de notre maison, mais était absent à ce moment-là. Blessée dans l'attentat, j'ai perdu un oeil, puis deux. J'ai dû faire avec, pour grandir quand même. La trajectoire que m'avait préparée ma famille a donc buté sur l'impensable. Il m'a fallu inventer ma propre façon d'aller vers la vie. »
C’est un véritable drame qu’a vécu Delphine Renard.
Le 7 février 1962, un attentat visant André Malraux, qui habite au-dessus de chez elle, la défigure et la rend aveugle. Elle n’a que quatre ans.
Chirurgie esthétique aux Etats-Unis, opérations lui permettant de retrouver momentanément une vision de près, longs séjours dans le hôpitaux font partie de son enfance.
Oui, c’est un drame.
Mais alors, le livre n’est vraiment pas agréable à lire. C’est une succession de souvenirs désordonnés écrits sans style, et je me suis carrément ennuyée sans ressentir d’émotions.
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