"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
C'est un univers de désolation, grisâtre et silencieux.
Un univers aux allures de fin du monde, peuplé de créatures étranges.
Au coeur de ce décor apocalyptique, un cavalier, juché sur sa drôle de monture, est projeté à terre par une explosion. Il se nomme Rumpert.
Dans un container de métal, il découvre la tête d'un enfant, BombKid. Désormais, ils feront route ensemble. Bientôt, un conflit éclate entre des enfants sauvages révoltés et une armée de robots...
Cette histoire muette tient à la fois de Stalker, le film d'Andreï Tarkovski, du Arzach de Moebius et du Vuzz de Philippe Druillet. Sans oublier l'imaginaire de Marc Caro, le réalisateur de La Cité des enfants perdus, qui signe le scénario de ce deuxième tome.
Inspiré par l'architecture et les créatures fascinantes de La Planète oubliée de Paolo Serpieri, le graphisme de Pim Bos fait naître une émotion esthétique chez le lecteur, pimentée par une pincée d'humour noir.
En breton, « tremen » signifie « passage ». Cet onirique roman-graphique est bien un passage qui nous entraîne de l'autre côté de la réalité, vers le domaine du rêve. Ou du cauchemar, c'est selon...
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