A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Tsunami, pandémie, attentat, guerre, menace nucléaire... Les catastrophes égrenées à longueur de journaux semblent s'emballer. L'oeil se rive, sidéré, sur les mêmes images répétées à l'envi ; les chaînes d'info en continu, comme les fils Twitter qui ressassent les dépêches AFP, en disent à la fois trop et pas assez. Comment appréhender et dire les catastrophes ? Que font-elles au langage ? C'est cette brèche entre les mots et les choses, propre à la violence subie de l'épreuve, intime comme collective, que François Laplantine tâche ici de circonscrire. Si, selon la conclusion du Tractatus, « ce dont on ne peut parler, il faut le taire », Wittgenstein luimême n'a-t-il pas proposé de le montrer ? Dans cet essai, François Laplantine le prend au sérieux et explore, du buto à Beckett, des films sur la Shoah à Maguy Marin et Antonin Artaud, comment la création montre ce qui résiste à être dit. Les formes artistiques explorées signalent alors des voies permettant d'éviter les écueils du silence mais aussi du catastrophisme tapageur. Ce que peut le langage, mais aussi ce qui l'excède.
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A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...