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« Quand j'avais dix ans, le réacteur n° 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl a explosé.
Ce printemps-là, le vent d'est a apporté de grandes quantités de retombées radioactives dans la région du centre de la Norvège où j'ai grandi.
Nous étions trois soeurs en train de jouer sous la pluie chargée de césium 137. Mes soeurs ont dû se faire enlever la thyroïde, elles portent à la gorge une cicatrice en forme de bijou." Approchez votre oeil. Collez-le à la lorgnette. Voici le kaléidoscope de Tchernobyl.
Hommes, femmes, enfants, babouchkas, adolescents fringants, futures épouses, chiens, esprits, tous vous racontent, à la première personne, l'après-Tchernobyl. Un réacteur, mille vies irradiées, parfois pour le meilleur, quasiment toujours pour le pire.
Dans ce texte, Ingrid Storholmen a quitté sa poésie habituelle pour nous livrer un récit poétique polyphonique à la limite de l'étude sociologique, un entremêlement de poignants lambeaux.
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