L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Publié en 1885 dans une revue littéraire britannique, Superstitions en Transylvanie paraît douze ans avant le Dracula de Bram Stoker. C'est dans ce réservoir de superstitions que ce dernier a puisé pour enrichir son roman. C'est dans La Transylvanie du XIXe siècle, région roumaine, qu'Emily Gerard explore le dernier bastion des superstitions « chassées du reste de l'Europe par la baguette de la science ». L'auteur dévoile légendes et croyances, décrit créatures et vampires avec nombre de détails, d'anecdotes savoureuses et inquiétantes.
Emily Gerard se fait reportrice au moment de raconter le folklore mystérieux de ces territoires captivants, peuplés d'étranges créatures : vampires, loups garous, dschuma (vieille édentée responsable de la peste et du choléra...). Entre reportage et imaginaire, elle compose un guide de survie dans l'inquiétante Transylvanie, dans une narrative non fiction avant l'heure.
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