"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En avril 1840, Stendhal rédige « Les Privilèges ». À travers ces étranges rêveries de toute-puissance, se lit une sorte de préfiguration des pouvoirs du dispositif cinématographique qui sera mis au point cinquante ans plus tard. Comment ce désir de cinéma entre-t-il en résonance avec le réalisme si particulier de Stendhal, souvent illustré par le travelling imaginaire du « miroir que l'on promène le long d'un chemin » dans « Le Rouge et le Noir » ? Les auteurs ont mené l'enquête au sein de la réflexion esthétique stendhalienne. Ils décrivent l'effet sur Stendhal de la « transformation du spectateur » en ce début du XIXe siècle, avec l'apparition des nouvelles « machines à images ». Ils reviennent sur sa théorie de «la sensation », en particulier à l'aune des recherches contemporaines sur les expériences de pensée et les modes possibles. Pourquoi ce « montage des reflets » auquel se livre Stendhal nous apparaît-il aujourd'hui comme quelque chose de cinématographique oe
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