"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le 8 mai 1945, à Berlin, le maréchal Wilhelm Keitel présentait à l'Union soviétique la capitulation de l'Allemagne. Un an et demi plus tard, en octobre 1946, le Tribunal de Nuremberg le condamnait à la peine capitale pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. Commandant suprême des forces armées allemandes, il joua un rôle considérable dans la guerre d'extermination à l'Est et fût l'un des instigateurs du décret « Nacht und Nebel », ordonnant la déportation de tous les ennemis du Reich. Il affirma pourtant avoir été trompé par l'idéologie nazie et fonda sa défense sur sa repentance.Rédigés quelques semaines avant son exécution, ses mémoires nous offrent un point de vue unique sur les stratégies militaires et politiques du Führer, de son accession au pouvoir aux derniers jours du IIIe Reich. Mais ils constituent aussi, et surtout, un objet de réflexion sur le devoir d'obéissance et ses limites, appelées par les grandes dictatures du XXe siècle.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !