L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Jean-Pierre Rochat écrit comme il respire, à pleins poumons, en haut de sa montagne à la belle herbe grasse, dans la partie francophone du canton de Berne. Au petit matin brumeux, alors que persiste la mémoire des rêves, il note ses incursions dans l'étrange, puis sort soigner ses bêtes. Les messages qu'il nous adresse sentent la chèvre, le cheval ou le sapin. Ce sont " les mini-romans de sa vie ". De courts récits, tour à tour narquois, lucides ou graves, par lesquels il nous insuffle sa folie, son appétit d'amour et sa poignante reconnaissance de la mort. Les fêlures insoupçonnées d'un éleveur de chevaux nous " montent au cerveau en finesse ".
"La première fois que je vous ai vue, un printemps, je me souviens, un jour de printemps ensoleillé, j'étais dans le parc, sous l'eau, j'étais encore sous l'eau, je jouais avec la neige de pétales de cerisiers, mon amour, tu as soufflé ton odeur dans le tuba, c'était divin, la vie revenait sur la terre."
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