Le Président Iranien : « Ces chiens de Russes se rapprochent de Téhéran, il faut absolument faire quelque chose.» L'Ayatollah Khamenei : « Pourquoi ne pas se plaindre officiellement auprès de la Fédération Russe ? » PI : Vous connaissez le problème aussi bien que moi et je n'ai pas envie que les Républicains s'installent à vie au Congrès et aux présidentielles américaines, surtout que la Fédération Russe est en train de prendre cette voie avec Russie Unie (parti du Kremlin). AK : On peut toujours masser nos troupes dès le faubourg de Téhéran. PI : L'idée n'est pas mauvaise, en faisant appel à nos milices internes et de souterrains, ça devient très efficace. AK : Espérons-le car le reste du pays n'a pas fait le poids par rapport à leur tactique jusqu'à présent. PI : On a peut-être commis une erreur en faisant une fixation sur les républiques de la Fédération Russe, tout en ne sachant pas faire changer les choses électoralement en Russie. AK : C'est vrai que si nous ne sommes pas les plus forts directement, il faut avoir un plan B. PI : Or, avec les Américains, on avait un plan B. AK : Tandis qu'avec les Russes, Vladimir Poutine est hors de portée électoralement.
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