L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« De poème en poème, écrivait Marcel Moreau à propos du premier recueil de Laurine Rousselet («Mémoire de sel», L'Inventaire, 2004), Laurine affine son art de grimper aux extrémités du non-dit. Elle a cette souplesse-là, si rare ; cette pulsion-là, si téméraire. On se demande ce qu'elle fait, dans les hauteurs du non-dit, à quel vertige elle s'initie, mais le certain, c'est que quand elle redescend, elle est une Voix, déjà une grande voix. » Depuis, la voix de Laurine Rousselet n'a cessé de « grandir », de s'amplifier. Longue histoire, déjà, que celle de Laurine Rousselet et des éditions L'Inventaire, qui, avec «Rue Ion Brezoianu», publient un quatrième volume de l'auteur. Une histoire de confiance, bâtie au fil des années et des publications. Comme dans chacun de ses ouvrages, Laurine Rousselet sème ici ses fulgurances, ses cris de passion et de douleur, ses doutes, ses apaisements, son ardente mélancolie d'être.
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