"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1964, le peintre états-unien Roy Lichtenstein (1923-1997), un des maîtres du pop-art, commence à explorer le genre de la marine en s'inspirant tant de l'histoire de l'art que des images des cartes postales ;
Dans ses oeuvres il utilise la peinture, le plastique, l'émail, le dessin, les collages, les estampes et même le cinéma. L'exposition à la Guild Hall rassemblera une série d'oeuvres extraordinaire, à partir des variations en version pop sur le thème du coucher de soleil, comme la reproduction du Super Sunset (1967), tableau dont l'original a été détruit ; l'on y trouvera également des collages « optical » expérimentaux, les films de la seconde moitié des années soixante, ainsi que des dessins et estampes des années quatre-vingts, sujets aquatiques traités avec une touche délicate et précise qui atteignent leur sommet avec la série des Water Lilies (« Nénuphars ») des années 1990, hommage aux Nymphéas de Claude Monet.
Le volume comprend également une interview d'Avis Berman à l'assistant de Lichtenstein, James De Pasquale, qui évoque le travail de l'artiste sur les paysages dans son atelier de Southampton, New York.
Une biographie et une chronologie, accompagnées de rares photos de l'artiste au travail dans ses différents ateliers, complètent le catalogue.
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