"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
40e anniversaire de sa disparition : les confessions de Romy.
« En ce 12 décembre 1976, il fait noir et il pleut. Depuis la tombée de la nuit, nous évoquons sa mère, très proche de Hitler, son beau-père, trop proche d'elle, ses amours avec des comédiens et des réalisateurs, ses liaisons «interdites»... Nous parlons de l'amour et du métier, de ses chagrins et de ses colères. Romy Schneider est désespérée et furieuse. Au fil des heures, je prends conscience qu'elle est à la fois courageuse et craintive, révoltée et conformiste, surdouée et rongée par le doute. Elle veut que moi, la féministe, je la venge. Nous ne nous doutons pas que dans cinq ans, six mois et dix-sept jours, elle aura cessé de vivre. » Dans les années 1950 et 1960, Romy Schneider (1938-1982) fut en Allemagne l'incarnation de tous les clichés qui couraient sur les femmes : depuis la « vierge » Sissi jusqu'à la « salope » de Paris. Durant une nuit entière, dans un appartement de Cologne, elle s'est confiée à Alice Schwarzer comme jamais encore elle ne l'avait fait.
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