"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1997, Robert Lubisch vide la villa familiale à la suite du décès de son père, un riche industriel qui a fait fortune dans les années d'après-guerre. Parmi ses papiers, il trouve une carte d'identité SS au nom d'un inconnu et la photographie d'une très belle femme. Quel est le rapport avec son père ? Lui, l'homme si parfait, si lisse, avait-il des secrets à cacher ? Au fil de ses recherches, Robert sent qu'il a réveillé un démon assoupi depuis la guerre et que l'histoire de son père est bien plus trouble qu'il l'a toujours pensé.
Sans clichés ni leçons d'histoire, un polar passionnant sur l'influence et les dégâts du national-socialisme sur un groupe de jeunes adultes pris dans la tourmente de l'Histoire.
Un scénario à la croisée du roman historique, du thriller et de l'histoire familiale. Alexandre Bollengier, L'Est républicain.
Prix du meilleur roman policier en Allemagne (Deutscher Krimipreis 2012).
Excellent polar ! Un suspens qui vous tient en haleine jusqu’à la fin pour cette double enquête oscillant entre les années 1997 / 1998 et celles de la 2eme guerre mondiale évoquant la vie des allemands sous le régime nazi.
A la mort de son père, Robert Lubisch trouve dans les tiroirs de son bureau une boîte à cigares.
« A l’intérieur il découvrit, une carte d’immatriculation SS, un laissez-passer et un certificat de libération d’un camp de prisonniers de guerre. Tout au fond, se trouvait une photo couleur sépia aux bords dentelés et jaunis représentant une jeune femme. La photo de la carte d’immatriculation était méconnaissable mais le nom était encore lisible : Wilhelm Peters. Le laissez-passer n’était pas nominatif. Seul le certificat de libération du camp de prisonniers de guerre portait le nom de son père. Robert observa attentivement ces papiers. Les taches noires sur la carte d’identité étaient du sang. Son père était originaire de Silésie, il avait été simple soldat et emprisonné à la fin de la guerre. Pourquoi était-il en possession des papiers d’un inconnu ? »
Le livre ne se lâche pas…
Mechtild Borrman (auteur du « Violoniste » qui a remporté le Prix de Elle policier), a reçu pour « Rompre le silence », le Prix du meilleur roman policier allemand, amplement mérité !
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