Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
« Quatre lettres tirées aux loteries de l'histoire : Roma. Et tous ces grands savants qui se penchaient sur moi ; certains me déclarant femelle, comme une louve ou comme une putain, d'autres disant que je devais mon nom au mâle fondateur qui traça mon enceinte. Moi, je ne disais rien, naturellement ; mais n'en pensais pas moins. Au petit jeu fastidieux de la vérité je leur souhaitais bien sûr tout le plaisir du monde, et ne m'en mêlais pas. Enfin j'avais vécu, comme toi, mon amour, comme tout le monde : une vie, toute une vie, rien qu'une vie. » Pourquoi la ville de Rome ne prendrait-elle pas la parole dans un roman ? Les animaux le font bien dans les fables. Et l'on peut espérer qu'une ville a autant à nous dire que la plupart des hommes.
Au reste, on se lasse de tout, y compris d'être éternel. Il arrive que Rome ait des moments d'absence. Il se passe alors des choses étranges : Audrey Hepburn reprend des vacances romaines, Mussolini du service, et des fauves de nouveau bondissent dans l'arène du Colisée. Quand le temps est hors de ses gonds, il ne reste aux hommes comme aux villes qu'à tenter d'en sortir : cele s'appelle l'amour.
Une critique de Rom@ dans Le Magazine Littéraire m'apprend que ce titre baroque cache aussi une subtilité du langage informatique : ROM, soit "Read-Only Memory", mémoire morte disent les spécialistes en français, le cœur inaliénable du disque dur... Comme Rome, nichée au sein de notre carte-mère culturelle !
Rien n'indique dans le livre que Stéphane Audeguy ait voulu jouer avec le jargon informatique !
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