"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«Quand j'étais mannequin, je ne réalisais pas que c'était ma vie. Ma vie, c'était ce qui allait arriver plus tard, lorsque j'aurais terminé ce métier.»Surnommée «le mannequin qui parle» dans les années 1980, Inès de la Fressange continue de dire ce qu'elle pense. Bien plus que sa propre carrière de mannequin, elle nous décrit une profession, son fonctionnement, ses traditions et ses acteurs. Lorsqu'elle entre dans le monde de la mode, Inès a 20 ans. Trop grande, trop maigre, elle est persuadée d'en ressortir très vite. Mais son physique atypique et sa personnalité retiennent l'attention et, en 1983, elle signe un premier contrat de sept ans chez Chanel.Incrédule face à son propre succès, Inès porte un regard amusé sur sa profession. Une apparente légèreté qui lui coûtera cher.Aujourd'hui, quel bilan l'ex-star des podiums dresse-t-elle de ses 14 années de mannequinat ?
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