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La Villa Palagonia de Bagheria (Sicile) XVIIIe siècle.
Voici la présentation d'un chef-d'oeuvre de l'Art baroque sicilien. À cette époque, six-cents sculptures, à l'image de celles que cet ouvrage présente, entouraient les murs d'enceinte de la Villa. Les siècles, les orages, les pillages, ont réduit les neuf-dixièmes de ces oeuvres ; elles ne comptent plus désormais que soixante-dix unités, en noir et blanc. Il semble vraisemblable qu'elles furent d'abord colorées. Et c'est pourquoi l'auteur a pris la liberté de leur restituer ? pour quelques-unes d'entre elles seulement ?, les couleurs qu'elles eurent à l'origine. La couleur leur fixe comme une modernité et une originalité que les siècles avaient quelque peu dissoutes. Cette décision, Jean-Pierre Prévost l'assume. L'ouvrage est divisé en trois parties : la première ressortit à la vie et à l'oeuvre du prince de Palagonia, un grand d'Espagne. On s'est permis d'y ajouter quelques greffes pirandelliennes, Jean-Pierre Prévost admirant le grand auteur italien à cheval sur les XIXe et XXe siècles. Ce choix a visé des faits établis par l'Histoire de la Sicile au XVIIIe siècle ; une documentation l'éclaire du mieux possible. Ici, la Villa et son créateur ; là, le rêve de l'auteur que le Prince lui a inspiré.
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