L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ces trois textes brefs de Rainer Maria Rilke sont réunis par une même tension qui va de l'étrangeté au paradoxe jusqu'à l'expérience de la perte : perte de l'enfance, fin d'une relation étrange avec un animal étrange - le chat -, comme est étrange la figure paradoxale de la poupée, comme est paradoxale cette nouvelle école en Suède où les enfants apprennent la " vraie vie " plutôt que les conventions et les vieilles lois.
Cette tension omniprésente est aussi celle qui oppose la vie à l'artifice, la liberté aux conventions, la créativité et la reproduction, le monde adulte et cette " part d'enfance " tant vantée chez Bernanos quand elle ne disparaît pas chez " la grande personne ". Cette tension se retrouve enfin dans l'essai de Baudelaire intitulé La morale du joujou (1853), reproduit en annexe.
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