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L'enseignement-apprentissage des langues maternelles dans le monde, notamment en Afrique est une innovation : un vaste chantier auquel plusieurs nations se sont lancées. En effet, l'enjeu d'un développement qui tient compte de la diversité culturelle et linguistique intrinsèque de chaque peuple semble être de nos jours un grand défi à relever. Toutefois, ces langues ayant fort longtemps été étiquetées de langues à tradition orale, connaissent depuis des décennies un vaste chantier leur permettant de passer des langues à simple expression orale à des langues écrites. Ainsi, en Afrique, notamment au Cameroun des réflexions allant dans ce sens ont été menées par des experts. C'est ainsi qu'en 1979 est né l'AGLC avec pour pères fondateurs les Professeurs Maurice TADADJEU et Etienne SADEMBOUO. Lesdits travaux n'ayant pas trouvé toutes les réponses à la question « comment noter les tons de la même manière dans le plus grand nombre de langues possibles ?». Le présent article est une piste de solution permettant d'écrire les langues à tons en éliminant les tons au maximum et en les notant de la même manière dans le plus grand nombre de langues possibles.
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