Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Piero della Francesca (1415-1420 ? - 1492), qualifié dès son temps de « monarque de la peinture », est un des promoteurs, avec Masaccio, d'une nouvelle aventure de la peinture qu'on a définie depuis comme la Renaissance. Cela suppose une nouvelle naissance par rapport à la pratique antérieure - l'unanimisme du gothique international -, autrement dit la mise en perspective de l'homme et de sa destinée, sur un fond d'inconnaissable qui demande à être connu (on entend le verbe « connaître » dans son sens biblique, c'est-à-dire charnel).
S'attacher à l'étude de Piero, c'est moins le suivre dans les péripéties de sa vie - pour autant qu'on en sache quelque chose et malgré les Vite de Vasari, bien souvent sujettes à caution -, que s'adonner à la méditation de quelques-unes de ses oeuvres majeures qui, à n'en pas douter, jalonnent un itinéraire spirituel. C'est, aux yeux de l'auteur, une grande leçon d'humanisme, et qu'elle fût le fait de l'Église, en un temps de chrétienté, n'enlève rien à la prétention qu'elle a de se dire « experte en
humanité ».
De quelle autre instance peut-on en dire autant oe
Raymond Terrin a fait toute sa carrière dans les services administratifs de l'Éducation nationale.
Le présent essai date d'une quinzaine d'années. Il a été suivi, plus récemment, de deux autres ouvrages, Pour l'amour du grec et Sur la permanence du classique, parus aux Éditions du Lau (Var).
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