"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cette thèse est consacrée à la perception visuelle des mouvements humains. L''objectif est de tester l''existence de liaisons fonctionnelles entre la perception et la motricité en utilisant des données issues de l''imagerie cérébrale, de l''étude de cas clinique (maladie de Parkinson) et de sujets adultes ou d''enfants. La tomographie par émission de positon, est utilisée pour révéler les réseaux neuronaux activés lors de la perception visuelle des mouvements d''écriture et de pointage. La perception de ces deux catégories de mouvements active des structures impliquées dans la planification et l''exécution de ces gestes. Pour préciser le rôle de ces liens entre perception et motricité nous nous sommes intéressés au phénomène de préférence perceptive pour la vitesse. Après avoir démontré et analysé en détail ce phénomène, nous avons étudié la façon dont ces préférences sont modulées par la représentation que le sujet a du mouvement, la longueur de la trajectoire, le type de mouvement, le niveau de développement moteur et l''état du système moteur des sujets. Cet ensemble de données indique que nous jugeons les mouvements à l''aulne de notre propre motricité.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !