"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Voitures brûlées des banlieues parisiennes, montagnes de déchets à Naples, braquages à Los Angeles, tapage ordinaire des armes à Rio de Janeiro, paralysie organisée et criminelle de São Paulo. Les métropoles brûlent.
Totalement électrifiées, les cités post-modernes sont entrées, au cours des dernières décennies, dans un processus de crises et de transformations critique et incessant.
Mais si les métropoles brûlent, nous continuons d'y vivre.
Notre habiter a trouvé de nouvelles formes, communicatives, en réseau, qui s'affranchissent des clôtures traditionnelles sociales, géographiques et architecturales.
Massimo di Felice nous livre un essai captivant, parfois prophétique, sur les mutations du rapport de l'homme urbain à son environnement de l'Antiquité jusqu'à l'ère du numérique, en passant par l'époque du livre, de l'électricité et des médias audio-visuels.
Une réflexion théorique rigoureuse sur la ville et l'homme, une écologie en somme, associant la philosophie, l'urbanisme et la sociologie de terrain la plus empirique.
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