L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Lorsque Julien Fournel referma le second volume, il ressentit avec une évidence presque violente qu'il lui restait à être le personnage de Stendhal, en supprimant de préférence le chapitre de la guillotine. Qu'avait-il fait jusqu'alors de sa vie ? Un bac philo à dix-huit ans, mention passable. Un stage au Sursaut Républicain, petit quotidien dont l'honneur restait de s'être sabordé pendant l'Occupation, mais dont le titre commençait à dater. Une année dans les bureaux de la S.N.C.F., attaché au service d'exploitation de la gare d'Orsay, où il avait été tout de suite sermonné pour travail excessif par ses collègues syndiqués. Trois mois de service militaire avant d'être réformé en décembre dernier. Une plongée en apnée dans le médiocre, le minable ou l'absurde. Désoeuvré depuis, gagné par un ennui qui de plus en plus lui tenait lieu de certitude. Il fallait dire non lui aussi, baisser le rideau, partir. Mais où ?
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