L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ces Pages se présentent comme une anthologie des oeuvres de Jean Sulivan, écrivain chrétien, mais d'abord écrivain tout court. Ses premiers livres ont été publiés vers 1960. Il nous a quittés en 1980. Dans cette période de vingt années, il n'a pas cessé d'écrire, comme poussé par une hâte, où le désir de se présenter en «rebelle» - Bonheur des rebelles était bien le titre d'un de ses premiers livres - avait sa part, mais moins peut-être que la jubilation de s'exprimer dans une langue toujours neuve, toujours vive, toujours acérée, et finalement toujours rebelle elle aussi. Paradoxe, et peut-être scandale, pour un prêtre devenu créateur, voyageur, errant, passant, porteur d'une irremplaçable «petite littérature individuelle».
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