"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" La nuit n'est jamais complète / Il y a toujours puisque je le dis / Puisque je l'affirme / Au bout du chagrin une fenêtre ouverte / Une fenêtre éclairée / Il y a toujours un rêve qui veille / Désir à combler faim à satisfaire / Un coeur généreux / Une main tendue une main ouverte / Des yeux attentifs / Une vie la vie à se partager.
" Ce poème de Paul Eluard a été présent lors de l'écriture de ce Journal où j'ai relaté, mois après mois, les principaux événements qui ont eu lieu dans le monde durant la dernière année du siècle et du millénaire, ainsi que les menus faits de ma vie quotidienne et les souvenirs qu'ils suscitaient, puisqu'on n'en a jamais fini avec son enfance, sa jeunesse. Elle a été plutôt sombre, cette année 2000, avec son cortège de catastrophes naturelles, d'accidents, de guerres, de massacres et avec l'omniprésence de la misère dont souffre la moitié de la population de la planète.
Pourtant, au milieu de cette nuit, quelques lueurs, quelques signes, comme si un avenir différent, moins injuste, meilleur, était possible. Forcément subjectif, ce Journal reflète un peu de la douleur et de l'espoir qui ont marqué cette année-charnière.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !