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Ce titre qui pourra paraître osé ou « prétentieux » n'a pour but que d'attirer l'attention sur une poésie qui prétend être « spirituelle » ou plutôt ontologique. Le poème ici est tantôt un cri, tantôt un signe de refus ; parfois une insulte qui jaillit pour ensuite se dissiper ou encore une prière à jamais rebelle.
Dans cette poésie qui se nourrit parfois de légendes et de mythes, l'histoire est évoquée pour éveiller dans l'âme et l'esprit du lecteur une ambiance poétique polyvalente. Car mourir en poésie, c'est vivre à jamais pour ne pas tomber dans « l'aigreur » d'une condition humaine qui s'épuise... et dans laquelle l'homme a perdu ses repères et ses « suppléments d'âme », au sens ancien et moderne de l'expression.
Dans Mourir à la place de Dieu, la poésie n'a pas pour ambition de refaire ou de recréer le monde, mais de l'accepter en tant que mystère où l'humain doit renouveler sa foi dans la vie pour faire de la mort une manière de voyage, de déplacement arraché à toutes les souffrances de notre existence sur terre.
Dans cet ensemble de chants et de poèmes, aucune trace d'acrobaties ou de fausses élégances. C'est une distribution de voix langagières et rythmiques souvent très proches de la respiration, comme mode de vie et comme une écriture possible contre la mort.
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