"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Exploiter les résistances naturelles des plantes vis-à-vis des bioagresseurs est une des solutions avancées pour diminuer l'utilisation des pesticides tout en gardant un bon rendement. Les résistances monogéniques (contrôlées par un seul gène), bien qu'efficaces, sont très souvent contournées dans les cinq ans qui suivent leur déploiement dans les variétés cultivées. Les résistances polygéniques, contrôlées par des QTL (Quantitative Trait Locus), en seraient une alternative durable. En prenant comme modèle la résistance polygénique au mildiou de la pomme de terre, la thèse participe à la découverte de nouveaux QTL en utilisant des populations de pomme de terre impliquant trois sources de résistances polygéniques. Une méta-analyse de QTL montre la congruence des QTL de différentes études publiées impliquant différentes espèces apparentées à la pomme de terre et précise les colocalisations entre QTL et gènes de résistances monogéniques. Les résultats obtenus permettent ainsi de clarifier l'organisation structurale des locus de résistance à Phytophthora infestans sur le génome de la pomme de terre et facilitent leur comparaison aux autres espèces de Solanacées tomate et piment.
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