Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
La représentation de la Mort, de la Renaissance à la Belle Époque, est à l'origine de la collection étonnante de la baronne Henri de Rothschild (1874-1926). Historiens de l'art, anthropologue et spécialistes de l'art d'Extrême-Orient proposent un éclairage nouveau sur cette collection éclectique, aussi méconnue qu'inédite, en la replaçant dans le contexte historico-social. Des grains de chapelet aux netsuke en passant par les épingles de cravate, les oeuvres profanes ou sacrées témoignent d'un goût pour le macabre teinté parfois d'un esprit potache. D'autre part, la présence symbolique du crâne dans l'art est mise en perspective par un florilège de vanités de la Renaissance à nos jours, peintures et installations de maîtres anciens mais aussi d'artistes contemporains tels que Vincenzo Dandini, Cornelis Gysbrechts, Annette Messager, Brassaï, Robert Mapplethorpe ou Giuseppe Penone.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !