"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Mektoub, tout était cri s'adresse à tous ceux, innombrables, qui ont eu et gardé Alger et l'Algérie au coeur.
Alger aux maisons blanches, aux terrasses rouges dominant la mer grecque puis latine, la mer éternellement bleue et tous les lieux si évocateurs d'Orient : la Casbah, Bab el Oued, le port et ses odeurs fortes, les fleurs partout, la montagne kabyle, mais aussi le goût alangui du thé à la menthe brûlant, les dattes sucrées et collantes, les aromates puissants, les effluves des citrons, des cédrats et des oranges.
Telles furent les images magiques et les parfums inoubliables d'une enfance et d'une adolescence heureuses.
Le livre s'adresse aussi à tous ceux qui ont connu les souffrances de l'exil, à ceux qui croient encore aux vertus salvatrices de la sensibilité, des pleurs et de l'émotion, à ceux qui savent que dans la multiplicité des pistes au départ et des chemins du possible, il ne reste qu'une seule voie qui conduit à l'inéluctable, et qu'une fois la dernière ligne rédigée, le point final posé, désormais tout est écrit pour toujours. » Marc Duperray
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