"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le 29 juillet 1944, une poignée de maquisards de la dernière heure improvise l'attaque d'un camion allemand dans le centre de Clermont-en-Argonne. Un sous-officier de la Gestapo est mortellement blessé. S'ensuit, le lendemain, la rafle de 112 hommes. 100 d'entre eux seront déportés en Allemagne ou en Autriche, et 28 seulement reviendront des camps. Parmi eux, Fernand Jadoul et ses deux fils aînés, André, 20 ans, et René, 17 ans. Ils iront d'Écrouves, près de Toul, à Ottobrunn, un kommando rattaché au camp de Dachau, en passant par le Struthof.
Soucieux de laisser son témoignage, et alors qu'il était l'un des deux derniers survivants, René Jadoul a voulu livrer sa version des faits. Pour que l'on n'oublie pas une petite histoire de la grande Histoire.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !