"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'attitude de flâneur excentrique de Henry D. Thoreau était perçue comme provocation : il n'en avait cure parce la marche dans la nature était essentielle à sa liberté ; elle formait le coeur d'un art de vivre exigeant leurs heures de promenade chaque jour. Elle s'insérait dans son idéal de culture de soi. Marcher s'ouvre sur le ton du plaidoyer sente une lutte : marcher pour affirmer sa liberté d'homme, pour ancrer dans l'espace, fuire les villes et les clôtures et mieux penser le monde.
Une promenade en hiver est l'évocation nostalgique d'un paysage enneigé du Massachusetts, où la poésie se mêle de fines observations, dignes d'un naturaliste, sur le changement des saisons. La contemplation de l'hiver, loin d'être morne et triste, est source d'une vitalité cachée, stimulante pour l'esprit.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !