L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dans une Espagne en convalescence après la Guerre Civile, Manolete est devenu une sorte de héros national, dont le souvenir restera d'autant plus fort qu'il meurt prématurément, en 1947, des suites d'une blessure reçue dans l'arène. Déjouant les poncifs et évitant les lourdeurs, François Zumbiehl réussit l'exercice littéraire périlleux que constitue cette autobiographie fictive d'une centaine de pages. Retraçant les principaux épisodes de la vie de Manolete (l'enfance dans l'ombre du père, torero lui-même, mort avant quarante ans, l'initiation au monde de la tauromachie, l'éclosion précoce de dispositions exceptionnelles, le chemin vers la consécration, semé d'étapes dans d'obscures arènes, les amitiés et l'amour), il y mêle sa propre vision du caractère et de la personnalité de Manolete, homme à la fois grave et fragile, Espagnol plutôt conservateur mais torero novateur voire baroque, combattant plein de force et de maîtrise, mais qui ne cessera de jouer avec sa vie jusqu'à l'issue fatale.
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