L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dans la confusion du temps où nous sommes, nul discours ne manque plus que la proclamation de la vanité des richesses et de l'insignifiance de l'accumulation matérielle. Plus d'Horace à la cour d'Auguste, de Ronsard à la cour de Catherine de Médicis, de Molière à la cour de Louis XVI pour moquer les avaricieux. L'argent parle, commande et règne. Une richesse qui ne se partage pas, sans devoir pour les opulents, sans enfer pour les mauvais riches, ordonne toute valeur. Dans ce contexte, il est plutôt drôle de faire entendre la voix des écrivains qui, depuis l'Antiquité, se sont relayés pour maudire les riches au nom des valeurs supérieures de l'art et de l'esprit.
Romanciers, pamphlétaires, poètes. Chrétiens, révolutionnaires ou bohèmes. Qu'importent leurs raisons, ils se retrouvent pour fustiger les pingres. Ils ont pour noms Martial, Montaigne, Balzac, Baudelaire, Rimbaud, Marx, Proudhon, Bloy, Dostoïevsky, Péguy, Céline.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique