"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Quand j'étais môme, j'avais une affiche de Siné, punaisée au mur de ma chambre. Ca doit me venir de là. Depuis cette époque, je n'ai cessé de le dévorer partout où je le trouvais. Dans Bizarre, Siné Massacre, Lui, L'Express et Charlie Hebdo, sur des couvertures du Livre de Poche, des pochettes de disque, des affiches et des cartes postales avec des chats (tiens !). Je suis toujours resté sans voix devant la force de son propos et la violence de son humour. Si je connaissais son oeuvre sur le bout des doigts, je ne savais rien de l'homme.
Or un jour, à la sortie de mon deuxième livre, j'ai reçu une lettre de lui, débordante de chaleur et d'amitié. Je me rendis, tremblant d'émotion, au rendez-vous que m'avait fixé mon idole : «Se pouvait-il que derrière le maître incontesté du dessin coup de boule se cache un tendre ?».
Dès le premier regard, je fus fixé, mais toi, lecteur, tu n'auras la réponse qu'après avoir lu le premier volume de Ma vie, mon oeuvre, mon cul !
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